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Les questions détruisantes,
N’ont comme réponse que les sourires amères.
Non, l’histoire n’est pas fatiguée de cette main d’attente.
Le dos de vie traverse la blessure humide de la poire mûrissante.
Ton sourire cultive au pied de mot l’arbouse du roseau.
Ton sourire, avec la main de caresse,
Confondu du souvenir des guerres du destin,
Donne la couleur de l’azur à mon lit.
Hassan Makaremi
1994