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Quand il pleut, mon frère,
Les fenêtres blessent mon cœur.
Les vents m'attristent.
Mon âme assoiffée de désert, suit ses fissures salées.
Quand il pleut, mon bleu devient noir.
Mes yeux s'embrument, mes oreilles dorment.

Ici, ici, il pleut tout le temps,
Quand il ne pleut pas des nuages,
Il pleut dans mon cœur,

Ici, il pleut tout le temps,
Tout le temps.

Hassan Makaremi
2001

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