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Quelle simple lourdeur, ce fardeau des souvenirs sur nos rêves,
Nous qui n'avons peur ni de la pluie, ni du pain.
Le monde ressemble à deux moitiés,
Qui prend chacune son propre chemin,
Pour apprendre aux combattants en fuite et les amoureux précipités:
Le sourire d’Adieu.
Et offrir la parole aux Palourdes de l'océan
Douleur dans son fort intérieur est porteur épousé des vêtements noirs,
Et l'amour dans sa rougeur est passionné de la blancheur de demain.
Et la verte éternelle,
Caché aux noyaux chauds est prêt à recommencer.
Aux, chanteurs combattants contre du blé!
Aux, petits cœurs derrière les portes fermées!
N'entendez pas vous l'appel des mythes?
Je reste pour réciter les mythes qui ont été oubliés même, des souvenirs
Pour réconcilier les deux moitiés du monde avec un sourire.
Avec un sourire réconciliant.
Hassan Makaremi
Paris mai 2013